Le nouveau gouvernement libanais doit profiter de son mandat pour mettre un terme au système de kafala, un dispositif de parrainage des travailleuses et travailleurs domestiques migrants donnant lieu pour ces personnes à toute une série d’atteintes aux droits humains – exploitation, travail forcé et traite des êtres humains notamment, a déclaré Amnesty International à […]
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Cette jeune fille a été recueillie durant la nuit de mardi à mercredi à Rambouillet par le Secours catholique avant d’être mise en sécurité par la justice.
L’absence d’un contrat de travail n’empêche pas d’obtenir une réparation intégrale, surtout pour des mineurs réduits au travail forcé. Dans un arrêt du 3 avril 2019, la Cour de cassation donne raison à une jeune femme, esclave domestique pendant sept ans.
Reportage. Le Comité contre l’esclavage moderne (CCEM) fête son vingt-cinquième anniversaire. Il instruit chaque année près de 350 signalements d’éventuelles « traites des êtres humains » et « réductions en esclavage ».
Six organismes ambitionnent de converger leurs efforts pour mieux identifier les victimes de traite des êtres humains, comptabilisées surtout parmi les femmes et les filles exploitées dans l’esclavage moderne, à savoir l’exploitation dans le travail.
Une jeune femme a été violentée, humiliée et exploitée pendant quatre ans par une habitante de Boujan-sur-Libron (Hérault). Une affaire d’esclavage déplorable. Son bourreau, poursuivi pour traitement inhumain et dégradant, comparait ce lundi à Béziers et risque jusqu’à sept ans de prison.
Le jeudi 11 avril 2019, à l’occasion de ses 25 ans, le Comité contre l’esclavage moderne organisait un colloque sur les réalités de la traite des êtres humains et de l’esclavage contemporain en France. Retour en texte et en images sur une journée particulière au CCEM :
The number of potential trafficking and modern slavery victims reported to the authorities has risen by 36% in a year, National Crime Agency figures show.
En 2019, l’esclavage est toujours une réalité en France. Zita Cabais-Obra, une ancienne victime, est aujourd’hui responsable de section à la CFDT. Elle aide des femmes immigrées à s’évader et combat inlassablement ceux qui les exploitent.
Jugés en appel, ils ont écopé ce jeudi de deux ans et un an de prison avec sursis et devront verser une somme de 56 000 euros à leur victime.