Le président de l’association se faisait appeler « Majesté ». Ronald D. et deux autres dirigeants de l’association Vies de Paris comparaissent ce vendredi en correctionnelle pour avoir monté un système d’extorsion et d’exploitation de dizaines d’étrangers sans titre de séjour. À la surexploitation se mêlaient injures et violences, pour certaines allant jusqu’à des violences sexuelles, dans un système d’emprise totale sur ses victimes.
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