En France, depuis 2006, le 10 mai est la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions. Aujourd’hui, l’une des formes de l’esclavage moderne est le travail forcé.
Lutter contre toutes les formes de traite des êtres humains à des fins d’exploitation par le travail, notamment domestique, c’est l’objet du combat du Comité contre l’esclavage moderne depuis 1994. C’est au siège parisien du CCEM que Zita Cabaïs a raconté son parcours.
L’Organisation internationale du travail recense plus de 40 millions de personnes victimes du travail forcé à travers le monde et environ 130 000 en France. Parmi les moins visibles, celles qui évoluent dans la sphère privée : les employés de maison victimes d’exploitation domestique. Les trois quarts sont des femmes.
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