
Une travailleuse péruvienne engagée auprès de la famille de Felipe Morandé, qu’elle a suivie après la nomination de ce dernier à Paris, raconte la dégradation de ses conditions de travail, sa liberté confisquée, puis les sévices infligés par un couple qui lui propose de l’aide après sa fuite en 2021. Deux ans plus tard, elle porte plainte pour «traite des êtres humains» contre ses ex-employeurs, toujours protégés par l’immunité diplomatique.
Plusieurs domestiques de diplomates d’ambassades parisiennes les accusent d’esclavage moderne. Pour la première fois, elles témoignent. «Libération» a enquêté sur les conditions de vie et les violences qu’elles disent avoir vécues au domicile de leurs employeurs, protégés par leur immunité diplomatique.
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