Une travailleuse philippine raconte quatre mois de conditions de travail extrêmes, la captivité et le viol dont elle accuse son ex-employeur, le général Khalid Ahmad Al Kuwari, visé par une enquête pour «traite des êtres humains» et «séquestration». Blessée grièvement dans sa fuite d’un appartement de Neuilly-sur-Seine, elle tente depuis d’obtenir justice.
Plusieurs domestiques de diplomates d’ambassades parisiennes les accusent d’esclavage moderne. Pour la première fois, elles témoignent. «Libération» a enquêté sur les conditions de vie et les violences qu’elles disent avoir vécues au domicile de leurs employeurs, protégés par leur immunité diplomatique.
Lire la suite de l’article ici.