Le Comité contre l’esclavage moderne accompagne depuis vingt-neuf ans les victimes de traite des êtres humains à des fins d’exploitation par le travail, dont une majorité de femmes exilées. Un long processus de réparation psychique qui commence par la considération.
Naya est arrivée en avance au numéro 169 bis du boulevard Vincent Auriol à Paris. Elle patiente dans le hall d’accueil du comité contre l’esclavage moderne (CCEM), un thé fumant entre les mains. Ce matin, elle a rendez-vous avec Marie Foucray, la coordinatrice sociale.
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