Ces migrants voyaient en lui un protecteur, un homme providentiel qui leur permettrait d’obtenir leur régularisation. Mais la main tendue s’est peu à peu refermée sur eux, les piégeant dans une forme de servitude volontaire que la justice n’a pas hésité à qualifier de « traite d’êtres humains aggravée », « soumission de personnes vulnérables à des conditions de travail indignes », « rétribution inexistante ou insuffisante » et « travail forcé », notamment.
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