L’ambition est affichée : « rendre visible l’invisible ». Parce que cette “criminalité souterraine reste mal connue de l’opinion publique”.
Depuis sa création en 1994, le Comité contre l’esclavage moderne se veut une « main tendue qui a pu sauver plus de 1.000 victimes, pour les sortir des huis clos de l’exploitation », en les accompagnant sur le plan psycho-social et surtout juridique. Parmi les 281 victimes (304 en 2023, « un record ») accompagnées par le Comité en 2022, 69 % étaient des femmes principalement exploitées au sein de « domiciles privés »…
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