Le fondateur de l’association Vies de Paris comparaissait à Paris pour traite des êtres humains, travail dissimulé et travail indigne. Cinquante-deux personnes se sont constituées parties civiles pour dénoncer l’exploitation qu’elles subissaient.
Le second volet du procès de l’association d’aide aux migrants Vies de Paris et de ses dirigeants, Ronald Désir, Aline Do et Amina Telli, s’est déroulé vendredi 18 mars devant le tribunal correctionnel de Paris dans une salle d’audience comble. Les prévenus, jugés notamment pour traite des êtres humains, encourent à ce titre jusqu’à 10 ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amende. Cinquante-deux « bénévoles » de l’association VDP se sont constitués parties civiles, ainsi que la CGT et le Comité contre l’esclavage moderne (CCEM).
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