Le tribunal correctionnel de Montpellier, dans l’Hérault a jugé que Marie Christine, une jeune femme camerounaise, qui a travaillé sans rémunération, sans repos, sans congé, dans des conditions contraires à la dignité humaine, a été victime de traite des êtres humains à des fins d’esclavage domestique.
Sa patronne a été condamnée pour traite des êtres humains et esclavage domestique à 18 mois de prison avec sursis, 20 000 € d’amende, et 14 000€ de dommages et intérêts. Son avocat a fait appel de la décision.