Mango ou comment ne pas assumer les 350 morts du Bangladesh (28/04/2013)

La marque espagnole a entrepris une opération de sauvetage de son image, après l’effondrement d’un immeuble de possibles sous-traitants à Dacca.


Colère au Bangladesh après l’effondrement de l’immeuble d’usines près de Dacca – Sipa

Le bilan de la catastrophe au Bangladesh est monté à plus de 350 morts après la découverte de nouveaux corps d’ouvrières dans les décombres de l’immeuble d’usines textiles qui s’est effondré mercredi près de la capitale, Dacca. Six personnes, dont le propriétaire de l’immeuble, ont été arrêtées dans le cadre de l’enquête déclenchée par le gouvernement.

Mais la catastrophe a des répercussions ailleurs dans le monde, car ces ouvrières qui sont mortes parce que leur immeuble était insalubre et qu’il ne fallait pas perdre une minute de production, travaillaient pour des marques étrangères ; des marques glamour et dont les top models s’affichent sur papier glacé, sans que le consommateur ne se doute – ou veuille savoir – dans quelles conditions leurs produits sont fabriqués.

Lire la suite sur le site de l’Obs avec Rue89